Habitué des soirées parisiennes Jeudi OK (et de feu les Coucou), Flagalova s’amuse avec une dream pop androgyne empruntant autant à la trance qu’à l’EDM, et questionne avec beaucoup de douceur dans la voix les normes de la masculinité.
Habitué des soirées parisiennes Jeudi OK (et de feu les Coucou), Flagalova s’amuse avec une dream pop androgyne empruntant autant à la trance qu’à l’EDM, et questionne avec beaucoup de douceur dans la voix les normes de la masculinité.